mardi 4 novembre 2014

LA PROTECTION DE DIEU




 1 Pierre 1 : 3-6
3 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ! Conformément à sa grande bonté, il nous a fait naître de nouveau à travers la résurrection de Jésus-Christ pour une espérance vivante,
4 pour un héritage qui ne peut ni se détruire, ni se souiller, ni perdre son éclat. Il vous est réservé dans le ciel, à vous
5 qui êtes gardés par la puissance de Dieu, au moyen de la foi, pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps.
6 C'est ce qui fait votre joie, même si maintenant, puisqu'il le faut, vous êtes pour un peu de temps attristés par diverses épreuves. (Louis Segond)


Longtemps, je me suis interrogée sur le fait qu’en tant que chrétienne, je vivais certaines bizarreries et que certains des rêves que je pouvais avoir étaient tout aussi bizarres.
Je me souviens d’une période particulièrement difficile où mes rêves étaient le théâtre des œuvres des ténèbres avec des cauchemars faits de géants hideux qui se réjouissaient de nous maintenir dans un certain sommeil, d’entre les mains desquels il fallait arracher les enfants, de mort proclamée sur nos vies…et j’en passe.
Le Seigneur nous a donné la victoire sur ces choses lorsque avec des frères nous nous sommes levés dans le jeûne et la prière et que nous avons demandé la délivrance pour chaque membre de la famille au Nom du Seigneur Jésus.
Maintenus dans le feu de l’Esprit, nous avons persévéré et reconquis nos territoires, nos vies d’entre les mains de l’ennemi pour les livrer à Dieu qui nous avait délivrés.
Servants le Seigneur avec zèle, maintenus dans la vérité de Dieu et mettant sa parole en pratique, nous étions sur la montagne auprès de Dieu dans nos cœurs, dans nos pensées, dans notre mentalité et dans notre vécu de chaque jour. Plus que vainqueurs par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen !
Puis, vient la fatigue, certaines oppositions et le désir d’avoir du repos. Alors cédant au sommeil, les cauchemars semblaient vouloir refaire surface.
Dieu nous protège-t-il seulement lorsque nous sommes en activité pour lui? Qu’en est-il de nos temps de repos pas d’oisiveté? Mais, ces temps au cours desquels nous avons besoin d’être ressourcés, renouvelés dans nos forces physiques tout comme dans notre âme et notre esprit?

Le verset de 1 Pierre 1 : 5 fut donc pour moi une révélation de la protection toujours continuelle de Dieu qui nous garde par le moyen de la foi.
« à vous que sa puissance garde par la foi en vue du salut, prêt à se manifester à la fin des temps. » (Français courant)
Dieu nous garde par sa puissance par la foi que nous avons en Lui. Sa Parole nous déclare que la foi est pour nous un comme bouclier que nous utilisons pour éteindre les traits enflammés de l’ennemi.
Éphésiens 6 :16
« En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable. » (Semeur)
« Prenez en toute circonstance le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du mal ; » (Segond)
Cependant, la plupart du temps, lorsque nous subissons les assauts du diable, notre première réaction est d’être d’accord avec les pensées du diable au lieu de les réfuter ; et nous les nourrissons nous-mêmes par nos raisonnements, notre incrédulité, notre manque de connaissance de la Parole de Dieu et de foi.
« Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous » Jacques 4 :7. Dieu, lui, nous assure de sa présence, de sa protection, de son intervention en notre faveur. Le croyons-nous ? Le proclamons-nous ? Choisissons-nous de marcher pour lui et par lui ?
Si tu réponds « Non ! » à ces questions, je t’invite à recevoir le Seigneur Jésus dans ton Cœur en lui demandant pardon pour tes fautes et en reconnaissant son sacrifice pour toi. Dis-lui que tu l’acceptes comme ton Sauveur personnel et le maître de ta vie. Si tu veux en savoir plus, n’hésite pas à me contacter. C’est avec joie que je t’accueillerai.

Si tu réponds « Oui ! » à ces question, alors quand vient l’adversaire, prend le bouclier de la foi et saisi l’épée de l’Esprit qu’est la Parole de Dieu et mets-toi en Position de Combat et résiste à l’ennemi par une prière d’autorité au Nom du Seigneur Jésus et en proclamant la Vérité de la Parole de Dieu qui se réfère à ta situation comme la réponse de Dieu à ce que tu vis. Dieu n’est pas un homme pour mentir, ni un fils d’homme pour se repentir.  Ce que sa bouche dit, son bras l’accompli (Nombres 23 :19).
Saisi-le donc par la foi car il te protège; il te garde !

Psaume 91
Celui qui s’abrite tout près du Très-Haut

repose en lieu sûr, à l’ombre du Tout-Puissant.

Je dis : « Éternel, tu es mon refuge et ma forteresse,

oui, tu es mon Dieu en qui j’ai confiance. »

Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur,

de la peste et du fléau.

Il t’abrite de son aile

et, caché sous son plumage, tu trouves un refuge sûr.

Sa fidélité est un bouclier, elle est une armure.

Tu n’as plus à craindre, ni terreurs la nuit,

ni flèches qui volent durant la journée,

ni peste rôdant dans l’obscurité,

ni insolation qui frappe à midi.

Qu’un millier tombe à ta gauche

et dix milliers à ta droite,

tu ne seras pas atteint.

Ouvre seulement les yeux,

et tu pourras contempler le châtiment des méchants.

Éternel est mon refuge.

Si tu as fait du Très-Haut ton abri,

10 aucun mal ne t’atteindra,

nul malheur n’approchera de la tente où tu demeures,

11 car il chargera ses anges

de veiller sur tes chemins,

12 de te porter sur leurs mains,

de peur que ton pied ne heurte une pierre.

13 Tu pourras marcher sans crainte sur le lion et la vipère

et tu fouleras aux pieds le lionceau et le serpent.

14« Parce qu’il m’est attaché à moi, le Seigneur, je vais le sauver

et le protéger car il me connaît.

15 Il m’invoquera, je lui répondrai,

oui, je serai avec lui au moment de la détresse,

et je le délivrerai, je le couvrirai de gloire.

16 Je le comblerai de jours

et je lui ferai connaître mon salut. »

(Semeur)


mercredi 8 octobre 2014

Faisons connaissance

Bonjour Chers Lecteurs

Oui! J'ai changé la photo de profil par une belle pierre précieuse qui rappelle que nous avons de la valeur pour Dieu et que nous sommes des  pierres vivantes. Et cela pour diverses raisons. La première est celle qui m'avait fait ne pas mettre de photo de moi au niveau du profil et la seconde est que le fait que j'ai fait l'effort d'afficher une photo de moi n'a pas changer grand chose. Alors, finalement, le plus important comme je l'ai toujours pensé est ce que nous pouvons partager ensemble, Christ, sa mort et sa résurrection, notre vie nouvelle en lui, par lui et pour lui et l'amour de Dieu pour tout homme.

Alors, Merci de continuer à venir me visiter même si vous ne laissez pas de mot. Votre présence m'encourage et m'édifie. Oui, Je sais que vous êtes là.

Que Dieu nous bénisse alors tous ensemble !



 Chers Lecteurs, après presque 6 mois de parution, vous êtes un peu plus de 300 à avoir visité ce blog. Ce qui est vraiment encourageant pour moi.
Alors j’aimerais qu’ensemble nous passions à une autre étape. J’aimerais faire votre connaissance et échanger avec vous.
J’afficherai une photo de profil. J’espère vous encourager ainsi à laisser un commentaire, une remarque, une appréciation lors de votre visite sur le blog !


Merci et que Dieu vous garde !

lundi 22 septembre 2014

Vie de Famille 2

Un rempart, une muraille fortifiée

Genèse 2
24 C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair !
25 L'homme et sa femme étaient tous les deux nus, et ils n'en avaient pas honte. (Segond)

Proverbes 31:
10 Heureux celui qui trouve une femme vaillante, elle a bien plus de prix que des perles précieuses.
11 Son mari a confiance en elle, il ne manquera pas de biens dans sa maison.
12 Tous les jours de sa vie, elle lui fait du bien, et non du mal. (Semeur)

10 Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles. 
11 Le cœur de son mari a confiance en elle, et les produits ne lui feront pas défaut.
12 Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie. (Louis Segond)

  
Les difficultés dans la famille, le foyer, viennent souvent du regard que nous portons sur nous-mêmes, sur les autres (le père, la mère, le frère, la sœur, l’enfant…), du péché, de l’ignorance.
Lorsque nous avons une bonne perception de nous-mêmes et que nous saisissons la vérité de la parole de Dieu au sujet de qui nous sommes vraiment et de ce que Dieu veut, nous pouvons faire le choix d’être une source de bénédiction pour nos propres vies tout en étant en bénédiction aux autres. Cela est vrai et fondamental pour la famille, au sein du foyer, du couple.
Si le mari doit arriver à s’attacher à sa femme ; la femme vaillante, vertueuse, elle, doit parvenir à lui faire du bien tous les jours de sa vie. Et cela est possible ! D’autant plus que la femme est réconciliée avec Dieu qui devient sa source, son Père et son Seigneur ; et qu’il l’appelle à être, pour son mari, une aide.
On pourrait se poser la question de savoir qui doit commencer ? Est-ce que cela doit être pris sous l’angle de « si mon mari est attaché à moi alors, il me sera plus facile de lui faire du bien » ? Ou encore « puisqu’il n’est pas attaché à moi, ce n’est pas la peine que je lui fasse du bien ? »
Il ne s’agit pas, je crois, de « qui doit commencer » ou « qui doit faire pour recevoir en retour ». Mais d’être près à faire ce que Dieu veut pour nous, en tant que femme auprès de nos époux. Et de laisser aussi à l’homme de faire le choix de ce que Dieu veut pour lui en tant qu’époux.
Il y va de même pour la soumission, l’amour, le pardon, la gestion des finances, l'éducation des enfants, la sexualité….
Et c’est là que rentre en jeu toute la bravoure que nous avons en nous en tant que femmes qui ont fait le choix d’être soumises à Dieu en toute chose et de lui obéir. Notre foi en Jésus-Christ nous permet de recevoir le Saint-Esprit qui nous remplit de la vie de Dieu et nous conduit dans une pleine connaissance de ce qu’est la volonté de Dieu pour chaque domaine de nos vies, notamment dans le couple. Et si nous nous laissons conduire par l’Esprit, nous marcherons aussi selon ses directives, éclairées par la Parole de Dieu et nous servirons le Seigneur dans nos vies, au sein de nos couples, auprès de nos maris et même de mes enfants.             
Une femme vertueuse est une femme forte, remplie du Saint esprit, de foi, de sagesse et d’intelligence pour gérer à la gloire de Dieu le foyer qui lui a été confié et bien d’autres choses en plus. Associez à cela la ferveur de la prière du juste, alors vient le salut, la délivrance, la stabilité, la maturité et la paix dont le foyer a besoin pour s’épanouir.
Une femme faisant du bien a un mari attaché, le corps qu’ils forment est consolidé, fortifié et affermi dans l’amour et l’unité. Et cela est bénéfique pour toute la famille.
Il y existe de nombreux témoignages de femmes qui ayant persévéré dans l’amour, le respect et le bien ont pu gagner le cœur de leur mari. Cela a même été source de salut pour certains.
Alors, soyons courageuses, persévérantes dans notre marche avec le Seigneur et dans la mise en pratique de sa parole au sein de nos famille, auprès de nos époux et de nos enfants !
  


Elysée

lundi 8 septembre 2014

Vie de famille

« Maman !… Il y a un monstre dans ma chambre ! »


Tel est le cri de mon fils de quatre ans qui me réveilla en sursaut. « Seigneur ! Que se passe-t-il encore ? »
Les cauchemars de mon fils ont été pour moi l’occasion de lui parler de la réalité du monde spirituel. Celui du diable avec les monstres1 (mauvais esprits) ; celui de Dieu avec Jésus et son sacrifice à la croix qui nous délivre et nous arrache du royaume des ténèbres et nous envoyer dans le royaume de lumière de Dieu2.
Pourquoi ai-je accordé une importance à ces cauchemars et y ai-je vu la main de l’ennemi qui se levait contre mon fils ? Sans doute à cause de ce que je me sentais moi-même oppressée à cette époque3. Et d’avoir trouvé les mots justes pour expliquer à mon fils qu’il pouvait résister aux ténèbres en acceptant de recevoir Jésus dans sa vie afin de devenir un enfant du Dieu a été une grâce de Dieu qui a positionnée toute notre famille dans la Parole de Dieu, la prière et nous a permis de nous approprier ses promesses4.

Le Seigneur nous donne des opportunités d’instruire nos enfants dans ses voies5. A nous de les saisir et d’être des témoins de Dieu auprès de nos enfants par notre foi, notre obéissance à la parole de Dieu et notre vie de prière6. Et la vie de famille est une terre fertile à l’enseignement, la correction et l’encouragement.
A l’exemple du démoniaque de Gadara, qui voulait suivre Jésus après avoir reçu une puissante délivrance, le Seigneur nous envoie comme témoins auprès de nos proches, nos époux (ses), nos enfants, nos frères et sœurs, nos pères et nos mères7.
Que répondons-nous à cela ?
Quelques temps après les cauchemars et que j’ai commencé à lui parler du Seigneur, de son œuvre et de sa puissance, mon fils vint me raconter le rêve suivant : « Maman, j’ai fait un rêve. Le diable est venu me chercher pour m’envoyer en enfer. Le Seigneur Jésus est venu et avec lui, on a acheté un robinet et on a éteint le feu ; et Dieu est venu me chercher pour m’envoyer dans son paradis. »
Quelle victoire8 ! Qui mieux que Dieu lui-même peut révéler son salut à un cœur d’enfant ?
Faisons notre part en tant que parent. Dieu, à coup sûr, fera la sienne dans la vie de nos enfants.
Soyez encouragés.


1 : Apoc. 12 : 12 ; 2 : Col.1 :12-23 ; 3 : 1Pier.5 : 6-11 ; 4 : Col.2 :12-15 ; 5 : Prov.22 :6 ;  
6: Act.1 :4-8 ; 7 : Mrc5 : 15-20 ; 8 : Apoc.12 : 10-11.




                                                                                                          Elysée

dimanche 7 septembre 2014

De retour!

C’est la rentrée.


Après le repos, la reprise des activités.
Et j’espère que chacun de vous, chers lecteurs, a profité pleinement de ses vacances.

Je vous souhaite donc une bonne rentrée à tout point de vue.
Et merci de revenir sur mon blog qui, j’ose le croire, continuera à être pour chacun de vous une source d’édification, d’encouragements et de bénédictions.

Que Dieu vous bénisse.



Elysée

samedi 26 juillet 2014

NOTE



Chers lecteurs

Je vois remercie pour l’intérêt que vous accordez à mon blog. Et j’espère vous être en bénédiction.
Dans mes premiers articles, j’ai voulu poser quelques piliers (notre IDENTITÉ en DIEU, en CHRIST, notre VALEUR, nos CAPACITÉS et POTENTIELS à découvrir et à faire fructifier, la FOI, notre FOI et la MARCHE PAR L’ESPRIT) sur le fondement que doit être JÉSUS-CHRIST (sa vie, son œuvre et son enseignement). Tout cela éclairé et conduit par l’œuvre merveilleuse du SAINT-ESPRIT.
Maintenant sur ces piliers, j’aimerais aborder des sujets qui ont trait à nos vies pratiques (maison que nous bâtissons) qui touchent et concernent les femmes.
Il s’agit aussi pour moi de trouver un bon rythme de publication afin de ne pas avoir à trop subir des contretemps dus à des événements imprévus.
N’hésitez pas à me laisser vos commentaires, impressions, remarques et même propositions.

Que Dieu nous bénisse tous ensemble dans la recherche et l’accomplissement de sa volonté.



Elysée

PS: EN RAISON D'UN DÉMÉNAGEMENT ET DES VACANCES, IL N'Y AURA PAS DE NOUVELLES PARUTIONS SUR LE BLOG AU COURS DU MOIS D’AOÛT. NOUS NOUS RETROUVONS DONC LE MOIS DE SEPTEMBRE POUR DE NOUVEAUX ÉCRITS!


lundi 21 juillet 2014

Justifiés 2

Le juste vivra par sa foi1


Toujours dans le processus de découverte de nos dons et nos talents, et de leur mise en œuvre dans la dépendance à Dieu, nous avançons dans une marche par l’Esprit2 dans la foi en Christ, en son œuvre et en Dieu3.
Vivre par la foi, marcher selon l’Esprit sont des impératifs de la vie de tout disciple de Christ.

« Ainsi, la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.4 » Alors, nous devons entendre la Parole de Dieu. Et cela, par une lecture quotidienne, une intimité toujours plus grande avec Dieu au travers de la méditation de sa parole et de la prière. Saisir pour sa propre vie les vérités de Dieu que nous découvrons conduit par l’Esprit de vérité, y croire, les dire à haute voix afin de les entendre, de les faire entendre dans le spirituel et agir en les mettant en pratique fidèlement chaque jour, chaque nuit de sa vie est la clé du succès et de la réussite, dans ses entreprises et dans chaque domaine de sa vie, par excellence5.

« Or, Sans la foi, il est impossible de lui être agréable, car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent6. »  Ce n’est pas en vain que nous croyons que Dieu existe, que nous le cherchons. Un gain y est rattaché…
Cette ferme conviction qui s’établit dans notre cœur concernant les choses de Dieu ; qui nous met en action (repentance, croire en Jésus et en la bonne nouvelle du règne de Dieu, recevoir Jésus dans sa vie, se faire baptisé7) sur la base d’une décision qui nous donne d’être réconcilié avec Dieu ; et d’entrer en intimité avec lui au travers de Jésus-Christ ; de prendre possession par la foi des choses qu’il nous donne, qu’il nous promet ; et de vivre son plan merveilleux pour nos vies est la foi qui réjouit le cœur de Dieu, qui nous sauve et nous justifie aux yeux de Dieu.
« Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.8 » Qu’espérons-nous ? Que désirons-nous voir ? Notre foi met Dieu en action pour honorer et récompenser la confiance, l’amour que nous lui témoignons. Mais comme le disait une pensée de Bob Gass lorsque nous prions pour l’accomplissement d’une promesse, il nous faut nous assurer que nous avons bien compris la promesse car Dieu est lié à sa Parole et non à notre interprétation. Et veiller à marcher selon l’Esprit et non par la chair car "l'homme naturel ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge9". 
Transformés par le renouvellement de notre intelligence éclairée par la Parole de Dieu vivifiée par le Saint Esprit ; régénérés par une mentalité nouvelle et rejetant le mode de pensées du monde, nous sommes rendu capable de discerner ce qu’est la volonté de Dieu ; ce qui est bon, ce qui est agréable, ce qui est parfait10. Eclairés par sa lumière, nous marchons en communion avec Dieu dans chaque domaine de nos vies11et portons du fruit à sa gloire pour notre propre épanouissement.
« Mon Juste vivra par la foi. Mais s’il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui ! 12»


1 : Habakuk2 :4 ; 2 : Gal5, Gal5 :25, Col3 :5-17 ; 3 : Gal2 :20 ; 4 : Rom10 :17 ; 5 : Josué1 :7-9 ; 6: Heb11:6;
7: Act1:14-36, 37-40, Jn1:12-13, Eph1:13-14; 8: Heb11:1; 9: 1Cor2:14; 10: Rom12:2; 11: 1Jn1:3-10;
12: Heb10:38



                                                                                                                                                             Elysée

mercredi 18 juin 2014

Justifiés

L’humilité, manteau du chrétien

Les paroles revisitées du chant suivant résument bien pour moi la notion d’humilité.
« Grâce infinie de notre Dieu qui un jour m’a sauvée. J’étais perdue, vautrée dans mes péchés quant il m’a trouvée.1 »
La prise de conscience du fait que j’étais perdue, loin de Dieu, morte à cause de mes offenses, gisant sous la condamnation me remplit d’humilité, de crainte et d’amour pour ce Dieu là qui m’a aimée et a pourvu à mon salut2. Il m’a sauvée de la vaine manière de vivre, m’a réconciliée avec lui, a pardonné tous mes péchés et m’a arrachée du monde des ténèbres pour me conduire dans son royaume de lumière3.
Tout cela pendant que j’étais ignorante de lui, de sa vie et de son amour et de son sacrifice pour moi4. Je n’étais même pas encore venue à l’existence qu’il mourrait pour moi à Golgotha. Quel Amour ! Quelle Grâce !
Découvrant toutes ces choses et fléchissant les genoux devant l’œuvre merveilleuse de la croix, je reçois Christ et crois en la Bonne Nouvelle du règne de Dieu. Et lui, me donne son Saint Esprit. Scellant ainsi mon appartenance au Dieu Vivant et Vrai qu’il est5. Quel Privilège !
Chrétien, je deviens.
Revêtu, du manteau d’humilité, je me tiens au pied du maître pour être son disciple6.
Qui que je sois : intellectuel ou illettré, je reconnais que je ne suis rien sans Lui ; financier, agriculteur ou femme de ménage, je sais que je ne peux rien sans Lui7.
Revêtu du manteau d’humilité, je crois que je puis tout par celui qui me fortifie et que Sa Grâce est toute suffisante pour moi8. Alors, je me fais son serviteur afin de collaborer avec lui à la gestion des choses auxquelles il m’appelle9.
« Grâce infinie de notre Dieu qui m’a tant aimé. Je n’ai rien mérité mais il m’a comblé de ses glorieuses richesses10. »

1 : Luc15: 1-7 ; 2 : Rom.6 :23 et Eph.2 :1-5 ; 3 : Eph.2 :6 ; 4 : Rom.5 :6-10; 5: Eph.1:7 et 13; 6: Matt.28:19-20; 7: Eph. 2:8-10 et Jn15:5; 8: 2Cor.12:9 et Phil.4 :13 ; 9 : 1Cor3 :9 ; 10 : 1Cor1 : 4-9.



Elysée

dimanche 25 mai 2014

ÉTENDS TES LIMITES 2

« Comment faire fructifier ce que j’ai? » 
2me partie : La dépendance à Dieu


Si nous croyons que nous sommes issus de Dieu de part la création et connectés à lui en Christ, alors toute notre vie doit être communion avec lui1. S’il est le créateur, il a le mode d’emploi ; s’il est Père, il a une éducation à nous donner2. Alors où que nous nous situons par rapport à Dieu, dépend comment nous nous voyons et qui nous croyons que nous sommes.
« Ce n’est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. » Nous dit Paul en 2Cor3: 5. Comprendre cela nous met à l’abri de l’inquiétude et nous met dans la dépendance totale vis-à-vis de Dieu. Non pour nous annihiler et nous interdire toute action mais pour nous équiper et nous rendre productifs à sa gloire3.

En nous créant à son image, avec toutes les capacités et aptitudes intellectuelles, physiques, morales et spirituelles dont il nous a doté, Dieu demande à l’homme d’être fécond, de se multiplier, d’assujettir la terre et de dominer sur la faune ; la flore lui étant donner comme nourriture4. Etre féconds dans tous les domaines, se multiplier dans tous les domaines, assujettir la terre dans tous les domaines, dominer la faune et se nourrir de la flore dans tous les domaines. 
Waouh ! Tout un programme de vie pour qui demeure en Christ, en Dieu.
Dieu ne manque pas de dire clairement que c’est lui qui donne l’intelligence, la sagesse, et la  compétence pour la réalisation de toutes sortes d’ouvrages, pour concevoir des plans, travailler divers matériaux, graver, tailler, exécuter toutes sortes d’ouvrages5. Alors quelles sont nos limites en Lui ?! « Elargis l’espace de ta tente; Qu’on déploie les couvertures de ta demeure: Ne retiens pas! Allonge tes cordages, Et affermis tes pieux! 6» En Dieu, nous sommes sans limites et en Christ, nous avons tout pleinement7.
Dans sa détresse, la veuve du film chercha de l'aide en criant au prophète Elisée car son mari était fils de prophète et craignait Dieu ; mais il avait des dettes. Et au prophète de lui répondre « Comment puis-je t’aider ? …Qu’as-tu chez toi ? » Pour ensuite la mettre en action en l’envoyant chercher des ustensiles chez ses voisines, le plus qu’elle pourra trouver ; et de les remplir avec la quantité d’huile que contenait sa fiole. Et l’huile ne s’arrêta de couler que quand les ustensiles vinrent à manquer8. Que d’enseignements et d’instructions avons-nous au travers de l’histoire de cette veuve.
Savoir qui nous sommes, nous amène à Dieu quand nous sommes en difficulté. Il nous donne sa paix lorsque nous lui faisons connaître nos besoins9. Il nous met en action en nous renvoyant à ce que nous avons10, nous encourageant à étendre nos limites pour recevoir l’abondance qu’il donne en nous offrant sa capacité, sa force, sa faveur, sa grâce avec abondance11. Il nous fait sortir de la mauvaise passe dans laquelle nous étions et comble nos besoins12.
« Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. 13» Dit le Seigneur.


1 : 1Cor6 :17, 1Jn1 :3 et 6-7, 1Cor1 :9 ; 2 : Es64 :4, Heb12, 2Tim3 :16-17 ; 3 : Eph2 :10 ; 4 :Gen1 :26-28 ; 5 : Exod31 :1-11 ; 6 : Es54 :2 ; 7 : Col2 :8-11 ; 8 : 2Rois4 :1-7 ; 9 : Phil4 :6 ; 10 : Matt4 :15-21 ; 11 :Mal3 :10, Jn10 :10, 1Tim6 :17-19, Tit3 :4-7 ; 12 : Phil4 :18-19, 2Cor9 :6-11 ; 13 : Jn15 :5.



Elysée

dimanche 18 mai 2014

ÉTENDS TES LIMITES

« Comment faire fructifier ce que j’ai? » 
1èrepartie : « Tout ce que ta main trouve à faire, fais-le ! 1»


Dans la découverte de nos talents et de nos dons, l’on est face à tout un ensemble de qualités, de capacités et d’aptitudes aussi diverses que complexes. Et toute la vie durant, le développement d’un être humain est jalonné de phases d’apprentissage, d’application, de tests, d’activité et de repos. Cependant, il y a des choses que l’on sait faire parce qu’on les réussit bien voir très bien ; et d’autres que l’on ne sait pas faire parce qu’on les réussit moins bien. Mais dans ce cas avec de la formation, des exercices et de l’application, on y arrive souvent très bien. Certaines choses pourtant semblent ne pas être à notre portée quoi qu’on fasse2.
Dans l’ensemble de choses que nous savons faire bien ou moins bien, certaines sont en rapport avec le domaine intellectuel, d’autres avec le domaine physique, d’autres encore ont avoir avec notre capacité à faire des affaires. Scientifiques, ingénieurs, financiers, commerciaux, architectes, artisans, couturiers, peintres, artistes, cuisiniers, animateurs, journalistes, ouvriers, techniciens, femmes de ménage, de chambres… sont des métiers, des activités qui font appel à des aptitudes et capacités diverses d’un être humain.
Nul n’est uniquement scientifique ou littéraire ou technicien ou commercial ou artisan ou ménagère, et j’en passe. On trouvera chez une même personne aimant soit  les sciences soit les lettres, une aptitude pour la musique, l’écriture, le sport, la cuisine, la couture etc.…le tout simultanément ou indifféremment. Personne donc n’est défini par le métier qu’il exerce car en dehors de ce secteur dominant dans sa vie qui devient sa profession, il a une foule d’autres aptitudes qui peuvent tout aussi bien l’aider à gagner sa vie et développer sa propre personne. Le tout est d’être prêt à le découvrir et de s’y adonner. Sinon la vie s’arrêterait pour beaucoup à la retraite ou en cas d’un accident invalidant pour le métier en  cours.
Souvenons-nous de la veuve du film qui ignorait que la fiole d’huile qu’elle avait chez elle pouvait lui être utile pour entreprendre un commerce3. Peut-être même qu’elle ne se connaissait pas des talents de vendeuse ou qu’elle avait trouvé, par le passé, cette activité humiliante pour elle. Peut –être n’avait – elle jamais osé demander l’aide de personne, mais sa difficulté la met en relation avec les autres à qui elle ira demander des ustensiles et certainement aussi qu’elle ira de nouveau à eux pour leur rendre leur ustensile. Gagner de l’argent au travers de cette activité pour couvrir ses dettes et subvenir aux besoins de sa famille l’éveille de nouveau à la vie et lui donne d’entrevoir certainement toutes les possibilités que lui offre cette activité, cet argent pour ne plus retomber en servitude.
Se réaliser en tant qu’individu fait appel bien souvent à l’aide des autres mais est surtout déterminé par notre mise en activité4. Une mise en activité en mode apprentissage et formation, puis en mode application et ensuite en mode action. Des fois l’on peut passer directement en mode action.
« Tout ce que ta main trouve à faire fais-le… »

Bien à Vous…


1 : Eccl9 :10 ; 2 : Exod31 :1-11, 35 :30-36, 36 :1-2 ; 3 : 2Rois4 :1-7 ; 4: Prov12 :27

  


Elysée

mercredi 14 mai 2014

Capital humain 2

« Qu’ai-je que je peux faire fructifier ? » 
2ème partie : « Qu’est ce qui me donne de la valeur ? »
                                                   

Découvrir ses capacités, ce que l’on est à même de faire avec son intelligence et ses dix doigts, et que l’on n’a pas forcement appris sur les bancs de l’école ou qui a été perfectionné par des études en rapport avec nos talents naturels, fait toute la différence.
L’école est une plus value qui nous permet d’acquérir des notions qui nous sont utiles dans la gestion de la vie courante et aussi d’apprendre un métier. Et pas seulement ça. Mais parce qu’on a passé plus de temps à développer nos capacités intellectuelles et qu’on a oublié l’être humain que nous sommes, lorsqu’à la fin on ne trouve pas du travail, on se fait appeler chômeur ou chômeuse.
 « Qui es-tu vraiment ? » et « Qu’as-tu chez toi et en toi qui te défini en tant que personne ? » A ces deux questions, la société dans laquelle nous évoluons, et le monde en général, nous donnent des réponses liées à une position sociale, une fonction, une parenté ou une ascendance ou encore notre âge. Cela a sans doute son importance. Mais la bible, Dieu nous dit aussi une autre chose qui elle, est capitale.
La bible me dit que je suis un être humain qui existe de par la volonté de Dieu. Désiré, aimé et crée pour être conforme à Dieu, semblable à lui1. Je ne suis donc pas le fruit du hasard même si je n’étais pas au programme de mes parents biologiques (Bien des personnes désirent avoir des enfants mais n’y arrivent pas…) ; encore moins d’une évolution. Et Dieu, en décidant de mon existence, avait un plan merveilleux pour moi2. Chose que l’on ignore ou choisi d’ignorer malheureusement. 
Connaitre le seigneur Jésus – Christ, le recevoir et croire en lui me donne de passer à un autre niveau d’existence. De créature désirée et aimée, je deviens un enfant de Dieu3. Je rentre en relation avec Dieu Le Père au travers du Seigneur Jésus et de son œuvre à la croix qui me réconcilie avec Lui. Son sang efface mes péchés, sa croix crucifie ma vieille nature pécheresse et me libérant ainsi du péché, de la chair avec ses désirs et ses passions, de la mort4.   Au travers de la repentance, je reçois le pardon de Dieu et dans mon union avec le Christ, je deviens une nouvelle création5 ; Dieu me donne son Esprit-Saint comme gage de mon appartenance à sa famille6, me rendant ainsi participante de sa nature. Dieu devient mon Père et moi, Héritier(ère) du créateur de l’univers, de mon créateur, de mon Père7. En Christ, Je suis restauré(e) dans ma relation avec Dieu brisée à cause du Péché issue de la désobéissance d’Adam8 et Eve donc l’humanité toute entière est la descendance. Je suis libéré(e)de tout ce qui me tenait captive9. Je reviens donc à mon créateur pour être conforme à lui, semblable à lui. Il est ma source et son plan, ses desseins sont mon but10.
La présence du Saint Esprit dans ma vie et la communion que j’entretiens avec lui me propulse dans une position de Fils, de Fille de Dieu parce qu’il me conduit dans la vérité de Dieu et dans l’accomplissement de son plan et de ses desseins pour ma vie et celles de ceux qu’il enverra vers moi.
Je suis aimée de Dieu, précieuse pour mon créateur ; j’ai du prix au Yeux de mon Père11. Alors j’ai de la valeur en tant qu’être humain, en tant qu’enfant de Dieu, en tant qu’héritier du Dieu très haut. J’ai de la valeur juste parce que j’existe et pour qui je suis. Car dans cette belle aventure, Dieu ne m’a pas créée, façonnée inerte, téléguidée mais il a fait de moi une créature libre et merveilleuse, avec une volonté propre que je lui soumets, un esprit plein d’intelligence et de sagesse, une âme vivante avec tout un tas d’émotions aussi diverses que renversantes me permettant de vivre et d’interagir avec mes paires dans les divers circonstances de la vie et un corps avec des appareils, des systèmes, des articulations et des connections qui me font vivre et me mouvoir12. N’est ce pas magnifique13 ? Oui, j’ai de la valeur parce que je suis crée à l’image de Dieu, pour refléter sa gloire. Et je suis équipée pour la vie avec des talents, des dons, la capacité de Dieu, la force de Dieu ;  et sa grâce et sa faveur qui m’accompagnent tous les jours de ma vie parce qu’il vit en moi.


1: Gen1 :26-27 ; 2: Eph1 :3-6, Jer29 :8-14 ; 3: Jn1 :12-13 ; 4: Rom3:22-26, Rom6:6-7 et 23, Gal5:24; 5: 2Cor5:17-21; 6: Eph1:7-14; 7: Rom8:14-17, Gal4:7; 8: Rom5:19; 9: Col2:10-15; 10: Apoc21:6, Jn6:26-29; 11: Esa43:4; 12: Act17:24-28, Eph4:16. 13: Ps139:13-18


Elysée

dimanche 11 mai 2014

Capital Humain

« Qu’ai-je que je peux faire fructifier ? »

1ère partie : témoignage


   
Passant une période difficile, après mon mariage et l’arrêt de mes études, j’avais le sentiment que toute ma vie s’était arrêtée et que je n’avais plus d’avenir.
 Puis, un jour, je vis un film sur une femme qui venait de perdre son mari qui lui avait laissé énormément de dettes1. Et elle n’avait aucun revenu pour y faire fasse. Et ayant demandé de l’aide, on lui répondit en lui posant cette question « Qu’as-tu chez toi ? » Bien sûr que sa réponse fut « Rien ! » Qu’avait-elle ? N’était-elle pas sans emploi, avec des enfants à charge, veuve de surcroît et criblée de dettes ? Mais en y réfléchissant bien, elle se souvient qu’il lui restait encore une fiole d’huile. Il fut donc conseiller d’en remplir divers ustensiles et d’aller la vendre sur le marché. Ce qu’elle fit et commença à subvenir à ses  besoins, à ceux de ses enfants et à rembourser ses dettes ! Une belle histoire ! Un miracle !
Oui, on peut le dire. Mais tout est parti d’une question « Qu’as-tu chez toi ? » En d’autres mots « Qu’as-tu en ta possession qui pourrait être utilisé qui te permettra de t’en sortir et de révéler la tête ? » « Qu’as-tu chez toi ? »2
Il me fut difficile de répondre personnellement à cette question car je n’avais en tête que mes années d’études universitaires, pas d’expérience professionnelle probante dans mon domaine d’étude et je me trouvais trop âgée pour postuler à une quelconque offre d’emploi ; et surtout il y avait la famille, les enfants « Qui va s’en occuper ? »
Poursuivant la réflexion dans la prière et la méditation de la parole de Dieu, je ne faisais que me poser sans cesse la même question et d’y répondre toujours « Rien ! » Jusqu’au jour où je me suis souvenue d’une question qui m’avait été posée « Pourquoi ne te mets-tu pas à la couture ? » « Je n’aime pas ! » avait été ma réponse.
Mais au-delà de ne pas aimer c’est quelque chose que je savais faire puisque je l’avais appris. Oui pourquoi ne m’y remettrai-je pas. Et tiens « Pourquoi, je ne ferai pas du tricotage ou du crochet ? Ça aussi je savais le faire ! »  Et aussi, « Pourquoi pas la broderie ? Ça aussi je sais le faire ! »
Et oui ! Finalement « Qu’ai-je chez moi que je peux faire fructifier ». Il ne s’agissait donc plus d’aimer mais de reconnaître quelles sont mes capacités, mes aptitudes et de les utiliser pour aller de l’avant, pour me réaliser en tant d’individu. Et croyez-moi, l’appétit vient en mangeant et on découvre que c’est même très bon et qu’on a failli passer à coté de quelque chose de beau, de grand…
Bien de choses à vous !



1: 2Rois4 :1-7 ; 2 : Matt25 :14-30





                                                                                                                                                                         Elysée